Des pavillons traditionnels, une culture séculaire

L’hôtel dispose de 25 suites de plein pied, réparties dans plusieurs pavillons de type traditionnel. Les bois utilisés leur confèrent une élégance indéniable et l’esprit japonais et tatamis, futons, décoration leur apporte un charme très agréable. La vue sur la rivière Ōi, toute proche, complète cette immersion dans l’art de nature caractéristique de la tradition kyotoïte.

L’utilisation de bois de qualité, de meubles et d’objets artisanaux réalisés par des mains expertes selon la tradition ancestrale japonaise, achève de nous transporter dans un univers où la sérénité est de mise. Design sobre et épuré, couleurs unis, et larges ouvertures sur la forêt, le jardin traditionnel et le bruit de la rivière toute proche, incitent à une contemplation sereine. Pour ceux qui souhaitent un maximum de luxe, la Tsukihashi Maisonnette, un espace de 122 m2 de deux étages est superbe. Elle dispose d’une grande véranda.

Aux traditionnels tatamis et fenêtres ornées de croisées de bois et papiers translucides se sont ajoutées des touches contemporaines, tout en conservant cet aspect sobre et dépouillé qui lui confère son âme. Meubles en bois laqués, canapés, service à thé traditionnel, le confort qui en résulte permet à tout un chacun de profiter du calme ambiant et de la nature si proche, visible depuis de larges fenêtres.

Les chambres disposent d’une surface variable, de 33 à 93 m2, et toutes sont immergées dans cette nature calme, reposante. Elles bénéficient d’un confort chaleureux et chic depuis sa  réouverture en 2009.

Repos, relaxation, contemplation, mais aussi confort et modernité.

Vous voila donc dans une parenthèse hors du temps, prêt à vous ressourcer, randonner, visiter cette région historique ou édifices historiques impériaux et religieux sont nombreux. Lieu de villégiature d’une aristocratie disparue, l’endroit est enjôleur et profondément en communion avec la nature.

Un espace historique de premier plan

Les sites de premier plan sont accessibles aisément et rapidement. Les sites historiques et temples anciens sont à portée de promenade : le Temple d’Or, ou Kinkakuji, n’est qu’à 8 km, le Temple d’Argent, ou Ginkakuji, est de l’autre côté de la ville de Kyoto. Tout près de celui-ci, le sanctuaire Heian Jingu est consacré en particulier au premier et au dernier empereur qui ont vécu à Kyoto : les empereurs Kammu et Komei. Ce monument shinto, baptisé sanctuaire « de la Paix et de la Tranquillité », est une réplique modèle réduit du palais impérial de l’ère Heian (794-1185).

Le Kiyomizu Dera (Temple de l’Eau pure), le Temple Ryoanji, le Château de Nijo, le Temple Sanjusangendo, oui encore le Palais impérial de Kyoto sont quelques uns de ces sites importants et incontournables. Le parc du Palais impérial est d’ailleurs considéré comme un hanami par les Japonais. C’est-à-dire l’un des meilleurs endroits du Japon pour admirer les fameux cerisiers en fleurs chaque printemps.

Enfin, l’espace naturel préservé d’Arashiyama appelle à la contemplation et à l’excursion, loin du tourisme de masse. Temples et sanctuaires rythment la découverte de cet environnement verdoyant, au milieu des bambous, cerisiers et autres espèces florales typiques de la région. 

Un peu plus loin

A 30 km à l’est de Kyoto, la ville de Ueno a été regroupée avec les cinq villages qui l’entourent en une communauté urbaine baptisée Iga. On l’appelle communément Iga Ueno. La ville est surtout célèbre pour être le berceau des ninja. Ils étaient en quelque sorte les espions de l’époque féodale. Des guerriers vêtus de noir et rompus à l’art du camouflage et aux arts martiaux. Le ninjutsu, l’art martial ninja, est encore enseigné dans de nombreuses écoles, les plus célèbres étant à Ueno. Elle est également la ville natale de Basho Mastuo, l’un des plus célèbres poètes japonais de l’époque Edo.

L’île du Dragon, à environ 30 kilomètres de la côte de Dakhla, est un lieu naturel préservé et encore sauvage. N’hésitez pas à y faire de la plongée, explorer les grottes et observer la faune marine.

El Argoub, à 25 kilomètres de Dakhla, est un charmant village de pêcheurs. Vous pourrez y découvrir la vie quotidienne des habitants, déguster du poisson frais et profiter de superbes vues sur l’océan. C’est également un spot reconnu pour les surfers.

Enfin, même si Dakhla est une la destination populaire par excellence pour les amateurs de sports nautiques, la cité n’en est pas moins un lieu historique. La Villa Cisneros témoigne de ses nombreuses évolutions, dans une région non autonome passant des mains espagnoles à celles de la Mauritanie puis celle du Maroc. La douceur du climat, beaucoup plus supportable qu’en plein désert, permet de visiter agréablement les sites historiques de la région. Ne manquez pas le phare de la ville, les marchés traditionnels, les restaurants et de vous immerger dans la vie quotidienne de ses habitants.